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Et ainsi, nous nous dirigeâmes vers le marché aux esclaves de Brolsenul.
C’était peut-être appelé un coin de la rue mais c’était une zone de commerce délirante dans la capitale royale du monde. Ce n’était pas que je n’avais aucune opinion sur son existence en tant qu’ancien Japonais, mais après tout, si on ne me forçait pas à commettre des atrocités, je devrais être capable de le tolérer jusqu’à un certain point. Tout repose sur le principe de l’eau qui dort.
« Donc, Jeune Maître. Quel esclave désirez-vous ? »
Le subordonné chargé par mon père de me servir de garde du corps et de me surveiller me parla sur le ton d’une bravade ostentatoire.
Il fut adoubé en tant que première génération de Chevaliers et était auparavant un roturier, il semblerait. Je n’étais pas très proche de lui, et ne connaissais pas grand-chose de son passé. Bien que je n’aie jamais eu de rapport étroit avec des roturiers, j’en avais tout de même une connaissance limitée. Voilà ce qu’avoir une vision globale voulait dire.
Le regard dans ses yeux alors qu’il scrutait le prix des colliers en argent portés par les esclaves était plus proche de la pitié que du mépris. C’était probablement parce qu’ils appartenaient à une couche sociale inférieure. Néanmoins, le mépris ne pouvait jamais être dissimulé complètement, je pouvais voir son mépris pour les esclaves des roturiers.
« Mm, je veux quelqu’un qui me servira de matériel d’étude pour éduquer les vassaux…… Si possible, quelqu’un de jeune et de mon âge. Je compte aussi faire de l’esclave une aide personnelle, alors le mieux serait qu’il puisse utiliser la magie. »
En ignorant ses sentiments, je déclarai mes exigences et les normes du début jusqu’à la fin. L’alchimie était autant une étude qu’un type de magie. Il n’était pas utile d’acheter quelqu’un sans un minimum de niveau de pouvoir magique. Et pour information, j’étais capable de manipuler la magie. Je pouvais utiliser un peu la magie du feu jusqu’à pouvoir jouer avec des flammes, et je pouvais aussi guérir de petites blessures.
« Eh ? Des prérequis comme être jolies et tout, vous ne vous en intéressez pas ? »
« En incluant ces critères, le prix n’augmentera-t-il pas ? »
De plus, avoir ce genre d’amusement à mon âge serait trop tôt. Pour être honnête, avoir une apparence mignonne et délicate pourrait avoir de bonnes répercutions sur ma santé, mais dépenser une grande somme d’argent à cette fin était absurde.
« Pendant que vous y êtes, j’aimerais les voir classés par prix, en partant du moins cher. »
Un esclave jeune était bon marché tant qu’il n’y avait pas d’anormalité. Il devait y avoir une bonne concentration d’enfants de mon âge dans ce marché.
« Oh ? »
Le commerçant répliqua et changea son expression en celle d’un homme d’affaire. Très bien. Ce qu’il pensait ne me concernait pas. Faire ce que j’avais à faire et éviter ce que je ne devais pas faire. C’était mon seul but.
Pleines des pensées avec zéro charme enfantin, je balayai du regard les esclaves.
Les produits étaient dans la majorité, comme je le pensais, des enfants de paysans, tous vendus par leurs parents. Pour une société avec une production industrielle sous développée, un seul blizzard ou sécheresse pouvait ruiner des familles paysannes entières. Même sans les catastrophes naturelles, tant qu’il y avait un seigneur idiot qui prélevait des taxes exorbitantes, leur situation ne changerait pas. Avec ces conditions et ajouté par le fait que certaines familles faisaient des enfants comme si elles donnaient naissance à des souris, en cas de désastre, ils vendraient les enfants qu’ils étaient incapables de nourrir…… Ce pays, le Royaume d’Alcael, devrait être béni par une bonne sécurité alimentaire comparée aux autres pays, et pourtant, pourquoi y avait-il autant de paysans devant faire face à de telles crises ? Sans aucun doute, leur effort était proportionnel à l’idiotie du groupe les dirigeant. Des personnes telles que le chef de ma famille huh.
Pour en revenir à notre sujet. Dans le second groupe, il y avait pas mal de criminels. Le continent d’Itousera était proche de l’époque médiéval mais le niveau de civilisation était plus proche de la période de la Renaissance (TL Note : Période marquant la fin du Moyen Age et le début des temps modernes). Il n’y avait pas de choses aussi avancées que la prison. Du moins, je ne connaissais aucun bâtiment servant une telle fonction où des roturiers arrêtés y séjourneraient. Les criminels qui commettaient un petit délit se voyaient enfermés dans une cellule provisoire après leur capture, et ils devaient par la suite payer une petite amende. Ceux qui ne pouvaient pas payer l’amende ou ceux qui commettaient de grands méfaits tombaient dans les griffes des esclavagistes. Certains se faisaient directement exécuter après avoir commis des crimes atroces et impardonnables. Bien sûr, il existait certains cas où de puissants aristocrates ou des membres importants de l’Eglise étaient autorisés à se retirer dans les frontières — un euphémisme pour assignation à résidence — mais bon, ils restaient des exceptions. Devrais-je vraiment acheter des esclaves qui étaient d’anciens criminels ? Je réfléchis sur ce sujet, mais je me rappelai soudainement de quelque chose. Il y avait un sort qui pouvait forcer des esclaves à se soumettre afin d’empêcher toute rébellion qui était de toute façon installé sur les sujets. Ce sort pouvait être observé sur le collier en argent qu’ils portaient autour de leur cou. Comme prévu d’un monde de fantaisie, tant qu’il y avait de la magie, rien n’était hors de question.
Et la grande majorité des esclaves était composée de demi-humains, des elfes et des nains. Oui, des demi-humains. Il y avait d’autres créatures intelligentes dans ce monde. A part ceux de la race des demi-humains qui avaient tendance à vivre longtemps, il y avait aussi des dragons parlants mais je n’en avais encore jamais vu. Ils étaient statistiquement rares et c’était dur de les capturer. Naturellement, même si certains circulaient sur le marché, leurs prix étaient exorbitants. Honnêtement, ce n’était pas quelque chose qui pouvait être acheté avec le budget d’un enfant de la Famille d’un Comte. Pour rendre les choses pires, la loyauté de ces créatures en tant qu’esclave était basse à cause de la barrière des races. De plus, les elfes avaient un don dans l’art des arcanes et certains avaient peur qu’ils ne se délient de leur sort qui force l’obéissance. Ce serait romantique, mais étant donné mes circonstances, ils étaient certainement hors de mon niveau d’exigence.
Ce que je cherchais, c’étaient les esclaves que j’avais mentionnés en deuxième, à savoir les anciens criminels….. Ou pour être pour exact, leur analogue. En raison de querelles domestiques ou de suspicions de rébellion, une famille entière pouvait être anéantie, et pour éviter que tous meurent, certains enfants succombaient au rang d’esclave. Voulant dire qu’il y avait la possibilité de trouver des esclaves un minimum éduqué dans ce marché. Ces esclaves m’éviteraient l’effort de leur enseigner les bases, mon désir d’un tel esclave était tel que ma main pourrait ressortir par ma gorge.
En fait, si c’était l’enfant d’un aristocrate, il y aurait une grande possibilité pour lui de pouvoir utiliser la magie.
La racine de la magie. Elle était déterminée en étant qu’innée, et jusqu’à un certain point, elle pouvait être héritée des parents à l’enfant. En outre, la magie nécessitait un chant et du talent pour être utilisée, la magie devait être enseignée correctement aux enfants. C’était la caractéristique fondamentale de la haute société. De plus, dans Itousera, la science était sous-développée et ainsi le choix principal en matière d’arme était les épées et la magie. Ce serait désastreux si la population commençait à se révolter et par conséquent, l’acquisition de personnes talentueuses pour la magie et des textes de magie importantes était strictement régulée par la noblesse. Certains mercenaires appelés aventuriers possédaient peut-être un ou deux magiciens au sein de leur groupe, mais ces personnes étaient probablement soit sous les ordres des aristocrates ou étaient eux-mêmes d’anciens aristocrates déchus.
Ces pensées traversèrent mon esprit, tandis que j’examinais les esclaves un à un par tranche de prix.
Leur niveau de compréhension de la magie pouvait être estimé par le montant de magie déchargé dans l’air. De même manière, il existait des tuyaux pour dissimuler ces décharges, mais si un esclave possédait un tel talent, leurs prix seraient bien plus hauts aussi. Est-ce que le vendeur essaierait de réduire leurs prix ? Un vendeur respectable ne ferait jamais cela. Personne ne porterait des habits achetés à bas prix après de longues négociations et un costume de marque en même temps. S’il réduisait vraiment les prix, ce serait pour obtenir une faveur en retour plus tard. Si je devais vendre mes objets et mes possessions, ce serait dans le scénario où je serais acculé contre le mur, mais je suivrais toujours mon principe de vendre au plus haut prix possible.
Yep, je ne sens personne avec de telles compétences parmi eux. Les esclaves qui possédaient des talents de magie étaient peu nombreux. C’était la même chose pour les esclaves qui avaient reçu une éducation. Aucun choix ici, je vais aller tenter ma chance avec des produits d’un grade supérieur.
Puis je le sentis.
« …..Oh ? »
Je pouvais sentir quelque chose m’attirer. Une qualité plutôt subtile d’aura magique. Bien que ce fût une faible sensation, c’était raffinée. De plus, l’attraction n’était en aucun cas faible. Aussi loin que je me rappelais, la qualité de la magie était habituellement proportionnelle à la quantité de magie. Il était rare de sentir cette excellente qualité de magie, mais de maigres quantités.
Se pourrait-il que la source de celle-ci, soit mourante ? Je m’étais toujours enfermé pour me concentrer sur mes recherches, et jusque-là, ceux que j’avais croisés étaient tous en bonne forme. Je n’avais aucune expérience concernant les personnes se battant pour survivre et qui étaient sur le point de mourir. D’autant plus, des personnes avec une telle qualité de magie. J’avais été témoins d’innombrables scène d’esclaves tués après avoir énervés mon père ou mon frère, mais ces victimes ne possédaient aucune racine de magie. La façon dont mon frère tuait sans aucune hésitation était la preuve que les esclaves n’étaient pas traités comme humains.
En ayant trouvé la possibilité d’avoir une bonne gemme à bas prix, je tournai les yeux vers la source de l’émission de la magie.
« La condition de celui-ci est plutôt sévère…… »
En suivant ma ligne de vue, le vassal qui me suivait prononça des mots d’une voix étouffée.
En effet, cet esclave est dans un état plutôt tragique.
Cet esclave était probablement une fille.
En comparant son corps physique au mien, elle n’avait probablement qu’un an ou deux de moins que moi, je suppose.
Il y avait des vestiges de ses longs cheveux noirs peignés mais, actuellement c’était dans un état si désordonné. En jugeant son corps bien entretenu et la blancheur de sa peau, je pouvais imaginer qu’avant de tomber à un état, elle vivait dans un environnement raisonnablement bourgeois. Cependant, cette constatation ne faisait qu’accentuer la tragédie.
Avait-elle été battue répétitivement ? Chaque coin de ses yeux et son nez étaient gonflé. Je dus en déduire son sexe, et dus utiliser le mot ‘probablement’ à cause de sa sévère condition. Elle ne devait ressembler en rien à son apparence originale. Ces habits bruts d’esclave, sa tenue consistait d’un grand drap avec un trou au milieu pour la tête, et le reste du drap était troué de partout. En regardant de plus près, il y avait du sang séché et de la saleté noire à la région entre ses cuisses. C’étaient peut-être des lacérations infligées à la partie inférieure du corps pour qu’elle ne puisse plus de lever. Avant de finir sur ce marché, elle avait dû être battue dans cet état par son ancien propriétaire pour de l’amusement. Comment pouvait-on tant faire souffrir une personne dont l’âge était encore de l’ordre du chiffre ? Je faillais à comprendre ce monde. (1)
TL Note : Chiffre = 0 à 9 / Nombre > 9
Vraiment un terrible manque de maîtrise de soi. Si elle avait été vendue quand elle était encore jolie, elle aurait valu une somme considérable d’argent.
Je jetai un coup d’œil à son étiquette de prix.
« ……Tellement chère. »
Murmurai-je involontairement.
Le prix écrit était un prix qui pouvait être appelé coûteux en prenant en compte le budget que j’avais reçu. Le prix était disproportionné pour une personne qui respirait à peine et qui était sur le point de mourir.
Etant donné qu’elle possédait une rare et excellente qualité de magie, peut-être que le prix était justifié après tout, mais il aurait été plus judicieux qu’elle reçoive quelques traitements. S’ils l’avaient traitée, j’étais sûr qu’ils auraient pu l’afficher dans les vitrines destinées aux objets de second grade. Non, si elle était en pleine santé, sa quantité de magie devrait retourner à son niveau normal, et rien que cela, il n’aurait pas été étrange qu’elle devienne la marchandise la plus coûteuse du jour.
Ceci étant, un marché aux esclaves n’était pas un bureau de magiciens. Même si les vendeurs connaissaient la quantité de magie qu’elle avait, ils n’auraient pas été capables de juger sa vraie valeur. Je pouvais sentir le manque d’effort dans le traitement des marchandises, mais je n’avais ni le devoir, ni l’intention de demander une amélioration de leurs conditions de vie.
« Allons-y, jeune maître. Ces enfants sont si pathétiques, ils n’arrivent même pas au niveau de nos espérances. »
Le vassal me tira légèrement sur les manches.
Je me débarrassai de ses mains.
« Attendez un moment. »
En ignorant le vassal qui ravala sa salive, je me penchai près d’elle.
Je l’examinai une nouvelle fois et comme je le pensais, ses mains ne montraient aucune trace de labeur. Son poignet droit semblait fracturé après avoir été violemment saisi, mais autrement, sa paume était magnifique.
Ses pieds nus avaient été écorchés par des pierres, mais la forme de ses ongles était intacte. La pointe de ses pieds et sa cheville étaient indemnes. Elle devait utiliser des chaussures ou des chaussettes avant de se faire vendre.
Tous ces indices indiquèrent qu’elle était auparavant la fille d’une famille bourgeoise. Soit sa famille fut ruinée, soit elle fut enlevée, finissant au final dans ce marché aux esclaves.
En d’autres mots, elle était la candidate la plus adéquate à mes exigences, un enfant qui avait reçu un certain niveau d’éducation.
……Je réfléchis longuement sur ce sujet pendant ce court intervalle de temps.
Tout d’abord, elle avait presque mon âge, donc père devrait l’accepter en tant que vassal destiné à me servir.
D’un autre côté, elle correspondait aussi à l’assistant que je cherchais, un enfant qui avait reçu un certain niveau d’éducation.
Et……Sa magie était particulièrement excellente.
Pour être franc, si on incluait la possibilité d’en faire une magicienne exceptionnelle à l’avenir, elle ne serait pas coûteuse du tout. C’était plutôt une aubaine vendue à bas prix que je pouvais me permettre d’acheter.
Le seul problème, elle était un bien défectueux qui pouvait mourir à tout moment.
Valait-elle vraiment le risque ? Si je la ramenais à la maison et qu’elle survivait, ce serait une affaire en or. Cependant, si le pire était à venir, il y avait aussi la possibilité que je gaspille la totalité du budget du mois prochain pour acheter un corps sans vie. Que devrais-je faire si elle mourait ? En commettant une telle erreur, je pourrais me considérer chanceux si père s’arrêtait à me faire la morale. Si j’étais malchanceux, je ne me verrais plus jamais confié une grande somme d’argent, et mon argent de poche des mois suivants serait inlassablement réduite.
Avais-je une autre option ? ……Rien qui ne me vienne à l’esprit.
Il allait de soi que ma position allait être mise en péril. Père me montrerait probablement moins d’affection. Mais était-ce vraiment un problème ? Père m’avait déjà montré une attention excessive et voulait faire de moi le prochain successeur. Si ce scénario venait à se jouer, une dispute éclaterait sans aucun doute entre mon frère et moi. Même si je gagnais la lutte, je devrais poursuivre une carrière politique et abandonner mes recherches. Non, dans le pire des cas, les autorités pourraient même utiliser l’excuse d’une querelle intérieure pour nous écraser.
Avec ce scénario à l’esprit, perdre des points d’affections ne me semblait pas être une mauvaise idée, ce n’était qu’un investissement pour le futur. Je devrais juste me reposer sur mon frère qui voulait activement devenir le chef de la famille. Tant que je pouvais recevoir un minimum de support financier pour continuer mes expériences et atteindre l’immortalité, je serais satisfait. Le seul inconvénient d’acheter un esclave mort, ou plutôt, un esclave aux portes de la mort, était un arrêt temporaire de mes recherches. De toute façon, j’étais arrivé à la limite de ce que je pouvais accomplir seul. Si elle mourait vraiment, je pourrais considérer la colère de père comme une pause à longue durée offerte par les Dieux pour économiser de l’argent.
Si je ratais, je retournerais au point de départ, mais si je réussissais, j’obtiendrais du profit. En pensant ainsi, c’était presque comme si j’achetais un ticket de loterie.
Je connaissais deux ou trois astuces sur les blessures, alors j’essaierai de guérir cette fille pour lui donner une autre chance de vivre. La position de l’ainé en tant que successeur devrait être plus firme si le cadet venait à accumuler des erreurs, et père devrait être capable de décider qui serait le meilleur successeur. Faisons face aux conséquences plus tard !
« Très bien. Cette fille, je l’achète. »
« Jeune maître ?! »
Le vassal qui me suivait ouvrit grand les yeux en exagération, « Je n’arrive pas à y croire » était écrit sur tout son visage. Une réaction typique et normale.
En ignorant ses réactions, je fixai le visage de la jeune fille qui tremblait. Je ne fis pas attention à l’odeur âcre qui envahit soudainement mes narines. En ayant de l’expérience en manipulation de composés chimiques lors de mes brassages de médicaments, je m’étais déjà habitué à ce niveau de puanteur.
« Quel est ton nom ? »
« ………….. »
La jeune fille avec un visage gonflé, murmura quelque chose d’inaudible. M’avait-elle donné son nom, m’avait-elle lancé des injures ou parlait-elle juste de manière incohérente ? Je ne pus pas faire d’évaluation précise à ce moment.
« Bon, je l’entendrai la prochaine fois quand tu seras en mesure de me répondre. Par conséquent, hmm…… Pourriez-vous m’amener un vendeur pour que je puisse négocier son achat ? »
La commerçante m’amena vers la personne demandée. L’accord se finit en deux répliques, malgré que le vendeur me dévisageât d’un regard suspicieux tout au long.
La raison devait être que l’esclave que je voulais acheter avait déjà un pied dans la tombe et ce n’était pas un esclave sur lequel les autres jetteraient un deuxième coup d’œil. Il devait penser, « Ce gosse devait être assez idiot, peu importe son inexpérience. »
―― Sur ce, je réussis à me la procurer. A l’époque, je ne connaissais pas encore les changements qu’elle apporterait à ma vie.
…
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merci pour le chapitre
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